On pourra reprendre la définition, voire la simplifier, du rapport Brundtland ”un développement durable doit répondre aux besoins du présent, sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ”.
Développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre les capacités des générations futures à répondre à leurs propres besoins.
Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de ‘besoins’, et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir ».
Le développement durable est la finalité inscrite dans les textes légaux et les « transitions » sont des transformations nécessaires pour y arriver en ouvrant la voie à des débats sociétaux et des choix socio-économiques différents et variables dans le temps.
Le concept de “développement durable” est global et repose sur trois piliers :
- l’efficacité économique ;
- l’équité sociale ;
- la qualité environnementale ;
auxquels on ajoute aujourd’hui un quatrième :
- la gouvernance ou éthique de la gestion : plus ouverte, décentrée, collaborative, conduisant à l’intervention d’une pluralité d’acteurs.